Sundance Resources pleinement engagée sur le fer de Mbalam-Nabeba
Publié le mardi 31 janvier 2017, par Rutilance.com
Sundance Resources Ltd confirme sa pleine détermination à développer le projet de minerai de fer Mbalam-Nabeba à cheval entre le Cameroun et le Congo.
Elle a réaffirmé sa position, sur ce projet de 1740 km2 couvrant les gisements Mbalam au Cameroun et Nabeba au Congo, dans son rapport d’activités du trimestre achevé au 31 décembre 2016, publié le 30 janvier.
La junior minière rappelle qu’elle s’emploie à rassurer qu’elle est prête pour le financement de ce projet d’autant plus que les conditions de financement s’améliorent.
Elle bénéficie d’un apport financier de 1,3 million $ auprès de Noble Resources International Pte Ltd, un mécanisme de financement géré par Senrigan Capital Group et David Porter qui est depuis décembre dernier directeur non-exécutif de Sundance.
La mise en valeur du projet est prévue en deux phases et Sundance entend assurer, l’exploitation de 35 millions de tonnes de minerai de fer par an à partir des deux gisements sur une durée de 35 ans
La minière australienne a récemment noté une stabilisation des prix du minerai de fer et de solides perspectives pour l’acier sur les marchés chinois et à l’international.
A la lumière cette embellie, Sundance se dit confiante qu’il y aura un besoin continu du minerai de fer haut de gamme.
Ceci, alors que Mbalam-Nabeba a un fort potentiel pour du minerai à enfournement direct (DSO).
A l’en croire, Mbalam-Nabeba a de robustes caractéristiques économiques qui le mettent en une position idéale, outre l’appui gouvernemental, pour satisfaire la demande future des producteurs d’acier.
Se fondant sur des calculs minutieux, la compagnie australienne veut continuer à travailler étroitement avec les gouvernements camerounais et congolais en termes de financement de cet important projet.
Il s’agit du financement des infrastructures portuaires et ferroviaires, soit une voie ferrée de 510 km et un terminal minéralier, par la Chine et d’autres marchés financiers internationaux. (Par Olivier Tovor)
